9 août 2018 17:43, par ajoritAziza LOULOU .
C’est dans ce bain "classe-guerre" que ma génération a évolué dans la majorité des écoles de la haute Kabylie (Algérie) Notre instituteur ,monsieur Scheider et son collègue Tafani chargé des classes des petits enseignaient souvent l’arme à l’épaule ,rarement déposée au coin ,derrière le bureau ,volets de la fenetre fermés .Jusque au jour où nous nous sommes séparés ,sans se dire au revoir ,suite à un accrochage ,pendant que nous étions en classe,avec ceux que l autorité française appelait "fellaghas".Point de victimes du coté des belligérants ;mais l’incident ota la vie à un camarade de classe agé à peine de 1O (...)