6 juillet 2011 11:10
Quand on a connu les conditions des combats, cela parait impossible. Les accrochages par définition étaient brefs : l’ALN pour porter des coups devait bénéficier de l’effet de surprise puis disparaître.
Par contre, je peux vous signaler qu’un détachement de l’ALN a présenté les armes au lieutenant commandant la SAS Bouzeguene qui nomadisait avec le maghzen, l’arme à l’épaule.
Cette rencontre fortuite a eu lieu en pleine nature, près du village de Bouzeguène le 21 mars 1962, deux jours après le cessez-le-feu.
À cinquante ans de distance, il convient de se poser des questions et de s’intéresser à la vérité (...)