6 mai 2012 16:57, par A. TOUABI
Ainsi de ce pan, insuffisant, de notre histoire une conclusion implacable et irréductible s’impose : Elle réside dans la méconnaissance de l’autre. Ainsi si on se limite aux deux principales colonisations (l’arabe et la française), il en ressort que les arabes ont fait une meilleure approche sans toutefois connaitre le fond des berbères. Les Français, pour leur part, avaient priviligié la forme au fond. Il n’avaient pas cru utile d’étudier la composante berbère, se contentant de suivre le cours dicté et imposé par les arabes. Au fond, le fleuve n’est jamais calme et les deux colons n’ont jamais réussi (...)