5 mai 2013, par Claude GRANDJACQUES
Cher camarade,
Votre courrier du 5 avril a retenu d’autant plus mon attention, que votre parcours fait l’objet de toute mon admiration.
En effet, peu d’hommes de notre génération ont dans un contexte aussi dramatique, une expérience de l’Algérie aussi longue (1954 à 1962) mais surtout aussi riche de contacts porteurs d’avenir avec la population (cinq ans comme enseignant auprès des petits Kabyles dans le cadre du plan d’alphabétisation) auxquels il faut ajouter deux ans et demi comme sous-lieutenant (...)