18 avril 2010 17:55, par Ali
Il y a deux jours, je découvre le site Miages-Djebels et je tombe sur des écrits sur le Camp de Houra. Le camp de Houra. Voilà un nom de sinistres souvenirs. Et pour cause ! C’est là bas que j’ai été déporté avec ma mère, ma sœur et d’autres familles, toutes composées de femmes et d’enfants. L’armée française nous a déportés d’Aït-Bouada (commune d’Azazga) au camp militaire de Houra. C’était en automne de l’année 1960. Nous étions entassés, femmes et enfants à l’intérieur de ce camp et chaque matin, les militaires français nous mettaient en colonne par un et nous conduisaient comme du bétail vers Ait-Ziki dans une (...)