31 mars 2011 20:54, par Djoudi Attoumi
Merci à Claude Grandjacques, aux jeunes des Ait Zikki, une région que j’ai connue et dont le relief était très difficile pour nous. Une cuvette où des dizaines, sinon quelques centaines de maquisards, de civils sont tombés.
A travers ces deux lettres, j’ai senti un humanisme chez les auteurs, un besoin de se reconstruire et une ambition pour parvenir à l’amitié, à la fraternité. Aujourd’hui , 50 ans après, nous éprouvons de la compassion à ceux qui sont tombés des deux cotés, à leurs familles endeuillées et qui porteront toujours des séquelles de cette terrible guerre. Il n’est plus besoin de dire que cette (...)