Dans l’introduction l’auteur évoque les problèmes inhérents à la conquête de l’Algérie, décidée par Louis Philippe, avant d’aborder les conséquences et les dificultés de cet état de fait sous le Second Empire. En réalité, ce sont les relations entre Paris et Alger et les difficultés découlant de la fiction décidée par la la II° République ( l’Algérie fait partie intégrante du territoire français) qui sont décortiquées sous
Le proconsulat du maréchal Pélissier
La politique de Mac-Mahon.
L’auteur met en lumière les divergences d’appréciation politique et les résistances au changement : Napoléon III et ses conseillers ararabophiles rencontrent en Algérie l’opposition systématique du colonat et du pouvoir militaire en place.
On découvre à cette occasion comment le gouverneur général de l’époque a caché à l’Empereur la réalité de la famine terrible des année 1868.