15 août 2011, par Claude GRANDJACQUES
Le témoignage de Jean Louis Sahut a déclenché sur le site de Miages-djebels des réactions qui donnent la mesure du potentiel humain que représentait une population à laquelle la France ne s’était pas beaucoup intéressée du temps où elle prétendait que l’Algérie c’était la France !.
Dans une région comme Bouzeguène, il n’y avait qu’une école à Aït Ikhlef pour un territoire comportant une vingtaine de villages. Ce n’est qu’à partir de 1956, c’est-à-dire 100 ans après la conquête de la Kabylie par les armes, que, (...)