3 avril 2008, par Jean Claude DOMENECH
En temps de paix, les disparitions plongent les familles dans la détresse : en plus du désarroi lié à la perte d’un être cher s’ajoutent des démarches sans fin, l’espoir de pouvoir glaner des bribes d’informations et finalement le désespoir et la solitude face à la réalité cruelle du destin.
Pour les rapatriés d’Algérie, imaginons ce qu’a été le calvaire des familles abandonnant leur terre natale, avec pour tout bien leurs seules valises : elles débarquent dans une Métropole où souvent elles ne connaissent (...)