4 mai 2015, par Claude GRANDJACQUES
Cette approche systémique du passé est dédiée à
toutes les victimes civiles ou militaires de la guerre d’Algérie. mes frères les harkis et tous ceux qui ont porté les armes quel que soit leur uniforme, mes amis pieds noirs si durement éprouvés, mon ami Bachir, d’Aït Salah, en souvenir de son père, de ses deux frères et des dix autres membres de sa famille morts pour avoir voulu vivre libres sur leur terre.
Ces réflexions complètent le livre « Des Miages-djebels. Notre guerre d’Algérie. Alain, André, (...)