19 juin 2008, par Claude GRANDJACQUES
Au crépuscule de sa vie, que reste-il au soldat qui a fréquenté des lieux si sublimes ? Des souvenirs douloureux, des plaies mal cicatrisées, un sentiment d’inutile et d’amertume se superposant aux souvenirs de paysages dont la beauté élève les pensées.
Merci Michel : tes photos, moments d’éternité, feront plaisir en Kabylie. L’amour des lieux et des êtres !... Une beauté à partager !....
A ces photos magnifiques, j’ajoute celles que m’a transmises Robert après les avoir reçues dernièrement de H & R (...)