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En réponse à :

  • Un jeune enseignant français en Grande Kabylie 1958-1973. (2e partie).

    25 décembre 2010 17:07, par Barnabooth
    En lisant ces messages, on reste sidéré du caractère merveilleux et indélébile du souvenir que les jeunes officiers des SAS et les enseignants détachés après 1962 ont laissé dans l’âme de milliers de jeunes Algériens. On comprend, dès lors, pourquoi les autorités FLN se sont empressées, dès l’Indépendance octroyée,à arabiser et islamiser, au moyen de personnels proche-orientaux,la population algérienne. En effet, il leur était plus facile d’instaurer ainsi leur dictature, en les coupant du bon côté de l’héritage spirituel français. Mais on n’était plus en 1830. Et, en 1962, l’Algérie ne pouvait plus (...)

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