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Un peu d’histoire

Dernier ajout : 28 mars 2014.


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Notes

[1] Dès le mois de février 1955, la capture en Kabylie d’un officier formé au Caire et à Bagdad, Hamadi el Aziz, fournissait la première preuve de l’intervention

[2] « Que la masse algérienne se soit tournée contre la France, alors, c’était le désastre ! » Général de Gaulle, 16 septembre 1959

[3] A moins que certains, au contraire, ne l’aient que trop bien raisonnée…

[4] Exempte : « De ce côté-ci de la Méditerranée, on n’a jamais cru sérieusement à l’intégration… au sens d’assimilation ». M Maurice Duverger, dans Le Monde, 15 avril 1959.

[5] Membres du mouvement religieux et nationaliste fondé en 1931 par Ben Badis. Son secrétaire général, Toufik el Madani, le représente au Caire dans le « gouvernement » F.L.N.

[6] « Je déclare qu’à partir d’aujourd’hui la France considère que dans toute l’Algérie il n’y a que des Français à part entière, avec les mêmes droits et les mêmes devoirs. Tous les Français, y compris les dix millions de Français d’Algérie, auront à décider de leur propre destin ». Général de Gaulle. Alger, 4 juin 1958.

[7] Cette expression si souvent reprise a été lancée pour la première fois par Jacques Soustelle, à Oran, le 1er octobre 1955 : « ... pour qu’enfin il n’y ait partout, de Dunkerque à Tamanrasset, que des Français indissolublement unis. »

[8] « Aimée et Souffrante Algérie. », Paris (Pion) 1956, p. 93.

[9] Général de Gaulle. 16 septembre 1959

[10] Ce n’est pas sans surprise qu’on voit apparaître ici une communauté mozabite en Algérie. En effet, il n’y a guère en Algérie plus de 10 000 mozabites, d’ailleurs perpétuellement renouvelés par la migration et le retour au M’Zab. La communauté mozabite, dans les sept villes du M’Zab, est au Sahara - lequel, selon la déclaration du 16 septembre, est exclu de l’auto-détermination.

[11] « Aimée et Souffrante Algérie » , p. 203.

[12] Rappelons qu’il n’y a en Algérie, sur plus d’un million d’Européens, que 32 000 cultivateurs, dont 20 000 « colons » propriétaires ; 13 450 de ces domaines sont de petites propriétés d’une superficie moyenne de 6 ha, en zone côtière.

[1] Cité par J. Borgé et N. Viasnoff, Archives de l’Algérie, op. cit., p. 19

[2] Le Moniteur du 8 octobre 1880

[3] P. Bourde, À travers l’Algérie..., op. cit., p. 203

[4] L. Bertrand, « L’Alger que j’ai connu », Revue des Deux Mondes du 15 juillet 1934, p. 336

[5] AFOM, Gouvernement général, dossier « Insécurité », 5 X / 5.

[6] H. Le Roux, Je deviens colon, op. cit., p. 155.

[7] Quinzaine coloniale du 5 septembre 1902

[8] Le Moniteur du 8 octobre 1880

[9] P. Bourde, À travers l’Algérie..., op. cit., p. 206

[10] H. Le Roux, je deviens colon, op. cit., p. 156

[11] Le Temps du 8 février 1903

[12] Étienne Flandin, « La sécurité algérienne et le budget », Revue politique et parlementaire, 1894, p. 224.

[13] Émilien Chatrieux, Études algériennes. Contribution à l’enquête sénatoriale de 1892, Paris, 1893, p. 68-70.

[14] Ibid., p. 162-173

[15] Affaire citée par F. Leblanc de Prébois, Situation de l’Algérie depuis le 4 septembre 1870, op. cit., p. 26-27.

[16] C. Benoist, Enquête algérienne, op. cit., p. 116-119.

[17] J. Olier, Les Institutions pénitentiaires de l’Algérie, Paris, 1899, p. 127. Émile Larcher, « Le régime de l’indigénat algérien », Revue politique et parlementaire, 1912, 3e trimestre.

[18] Cité par Camille Sabatier, La Question de la sécurité, Alger, 1882, non paginé.

[19] P. Bourde, A travers l’Algérie..., op. cit., p. 205

[20] Paul Leroy-Beaulieu, L’Algérie et la Tunisie, Paris, 1897 (2e éd.), p. 280

[21] C. Benoist, Enquête algérienne, op. cit., p. 121

[22] P. Leroy-Beaulieu, L’Algérie et la Tunisie, op. cit., p. 450

[23] Statistiques fournies par Le Temps du 20 juillet 1896 et Quinzaine coloniale du 25 février 1904.

[24] « Le régime de l’indigénat algérien », Revue politique et parlementaire, op. cit., p. 463-470

[25] Quinzaine coloniale du 10 mars 1907.

[26] P. Leroy-Beaulieu, L’Algérie et la Tunisie, op. cit., p. 278

[27] Émile Morinaud, Mes Mémoires. Première campagne contre le décret Crémieux, Alger, 1941, p. 57

[28] C. Benoist, Enquête algérienne, op. cit., p. 125-127

[29] La Dépêche coloniale du 17 juin 1902

[30] C. Jourdan, Croquis algériens, op. cit., p. 185-187

[31] H. Le Roux, je deviens colon, op. cit., p. 206-208 - AFOM, F 33, « Répression du banditisme en Kabylie ».

[32] Ernest Mallebay, Cinquante ans de journalisme, Alger, 1938, t. 1 p. 229

[33] « Rapport sur la répression du banditisme par le sous-préfet de Ouzou à Monsieur le Gouverneur Général, novembre 1893-janvier 1894 » ; AFOM, F 33, « Répression du banditisme en Kabylie ».

[34] « Lettre du Gouverneur général au président du Conseil, Alger, le 9 novembre 1893 » ; AFOM, 7 G 2, « Banditisme en Kabylie ».

[35] « Rapport du sous-préfet » ; AFOM, op. cit.

[36] E. Mallebay, Cinquante ans de journalisme, op. cit., p. 229.

[37] AFOM. 7 G 2.

[38] Ibid.

[39] Selon E. Mallebay, op. cit., p. 229.

[40] « Rapport sur la répression du banditisme... » ; AFOM, F 33.

[41] « Rapport du commissaire spécial de la Sûreté de Tizi-Ouzou Mathieu » ; AFOM, 7 G 2.

[42] Ibid.

[43] « Sous-préfet de Bougie à Monsieur le préfet » ; ibid

[44] AFOM, F 33, « Répression du banditisme en Kabylie ».

[45] Lettre du 8 décembre 1893 ; AFOM, 7 G 2.

[46] « Gauthier, secrétaire de la sous-préfecture de Bougie à M. le préfet, 10 août 1893 » ; ibid.

[47] « Rapport du commissaire spécial de Tizi-Ouzou à Monsieur le gouverneur, 4 octobre 1893.

[48] « Rapport du préfet de Tizi-Ouzou... » ; AFOM, F 33.

[49] « Rapport de l’inspecteur spécial P. Adam au commissariat spécial des chemins de fer et des ports, Alger, le 5 septembre 1893 » ; AFOM, 7 G 2, « Banditisme en Kabylie ».

[50] E. Mallebay, Cinquante ans de journalisme, op. cit., t. 1, p. 229.

[51] AFOM, 7 G 2.

[52] « Rapport du sous-préfet..., Bougie, le 28 décembre 1893 » ; ibid.

[53] E. Mallebay, op. cit., t. 1, p. 204-205

[54] AFOM, F80 1692, « Affaire de Margueritte » - Camille Brunel, La Question indigène en Algérie. L’affaire de Margueritte, Paris, 1906, p. 7 sq. - Philippe Rémion, Les Tribunaux répressifs en Algérie et leur suppression, Paris, 1934, p. 72 sq. - La Dépêche coloniale.

[55] AFOM, F80 1692, « Affaire de Margueritte ».

[56] Paul Melon, op. cit., p. 54-56

[57] Paul Melon, op. cit., p. 54-56

[1] 1.J. O., Débats pari. Sénat, séance du 21 mars 1935. pp. 344-357.

[2] 2. Maurice Viollette (1870-1960), docteur en droit ; conseiller général de Dreux depuis 1906 ; maire de cette ville en 1908 ; président du Conseil général d’Eure-et-Loir depuis 1920 ; député de mai 1902 à novembre 1919 et de mai 1924 à janvier 1930 ; sénateur de janvier 1930 à décembre 1938 : gouverneur général de l’Algérie de mai 1925 à novembre 1927. Maurice VIOLLETTE a consigné son expérience algérienne dans un livre paru en 1931 : L’Algérie vivra* t-elle ? (Paris, Alcàn, 1931. xxiv-503 p.,

[3] 3 Page 344, !« •• colonne.

[4] 4. Page 344. 2" colonne.  ».

[5] 5. Page 345, 2* colonne

[1] [1 Cf. Guy Pervillé, De l’empire français à la décolonisation, Hachette, 1991, pp. 35-36. ].

[2] [2 Ibid., pp. 159-161.

[3] [3 D’après le rapport de la commission parlementaire d’enquête présidée par le député socialiste Joseph Lagrosillière en 1938.

[4] [4 Cf. l’évolution de Jules Ferry retracée par Charles-Robert Ageron : « Jules Ferry et la question algérienne », dans son recueil d’articles : L’Algérie algérienne, de Napoléon à de Gaulle, Sindbad, 1980.

[5] [5 Cf. Claude Collot, Les institutions de l’Algérie durant la période coloniale, Paris, CNRS, et Alger, OPU, 1987 ; et notre article, « La notion d’élite dans la politique algérienne de la France », dans Les Élites fins de siècle, sous la dir. de Sylvie Guillaume, Talence, Maison des sciences de l’homme d’Aquitaine, 1992.

[6] [6 Cf. le colloque De Dreux à Alger, Maurice Viollette, sous la direction de Françoise Gaspard, L’Harmattan, 1991.

[7] [7 Reproduit par Claude Collot et Jean-Robert Henry, Le Mouvement national algérien, textes 1912-1954, Paris, L’Harmattan, et Alger, OPU, 1978, pp. 155-165.

[8] [8 Cf. notre article, « La commission des réformes musulmanes de 1944 et l’élaboration d’une nouvelle politique algérienne de la France », dans Les chemins de la décolonisation de l’empire colonial français, sous la dir. de Charles-Robert Ageron, CNRS, 1986, pp. 357-365.

[9] [9 Texte commenté dans notre recueil : L’Europe et l’Afrique de 1914 à 1974, Gap, Ophrys, 1994, pp. 65-73.

[10] [10 Cf. nos contributions aux actes des colloques : Guy Mollet, un camarade en République, Presses universitaires de Lille, 1987, pp. 445-462, et Paul Ramadier, la République et le Socialisme, sous la dir. de Serge Berstein, Bruxelles, Complexe, 1990, pp. 365-376.

[11] [11 Cf. nos articles : « Le jour où de Gaulle a décidé l’indépendance de l’Algérie », L’Histoire, n° 134, juin 1990, et « De Gaulle et l’Algérie : succès ou échec d’une politique », Tunis, Revue d’histoire maghrébine, 1996.

[12] [12 Conformément aux propositions des colloques juridiques réunis en 1960 et 1961 à Royaumont, Aix-en-Provence et Grenoble par l’Association pour la sauvegarde des institutions judiciaires et la défense des libertés individuelles


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