26 avril 2010 21:54, par Claude GRANDJACQUES
Bonsoir Ali.
Vous me questionnez sur ce qui était recherché à travers cette « condamnation à l’errance ».
Bien que partie non prenante d’une mesure contre performante que je réprouve, je vous livre une explication plausible.
Dans le contexte du moment, il s’agissait vraisemblablement de faire un exemple et d’éviter le renouvellement de ce qui a été une trahison envers la patrie d’alors.
En effet, à l’époque des faits, la patrie algérienne n’existait pas encore. Elle était en devenir. La patrie officielle, à tort ou à raison, était la France.
Pour preuve, chez les Arabo-berbères
certains servaient (...)