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« Deux villages en guerre (1954-1962). Vie quotidienne dans deux villages de Grande-Kabylie pendant la guerre d’indépendance algérienne : Aït-Bouadda et Moknéa »,

samedi 1er février 2020, par Lydia Hadj-Ahmed

Dans les faits, il s’agit du mémoire présenté par une jeune agrégée d’histoire issue de l’École Normale Supérieure, dont les parents sont originaires des Beni Ghobri.

Comme ce travail de recherche restitue les conditions de vie dans deux villages proches de Bouzeguène et que Claude a vécu des conditions similaires alors qu’il était chef de SAS, il se fait un devoir de le publier.


« Deux villages en guerre (1954-1962). Vie quotidienne dans deux villages de Grande-Kabylie pendant la guerre d’indépendance algérienne : Aït-Bouadda et Moknéa »,

Dernièrement Claude recevait un courriel émanant d’une doctorante en histoire souhaitant entrer en contact avec deux enseignants ayant publié leur témoignage sur le site Miages-djebels.

Dans les faits son interlocutrice est une jeune agrégée d’histoire issue de l’École Normale Supérieure, dont les parents sont originaires des Beni Ghobri. Celle-ci a déjà soutenu un mémoire intitulé « Deux villages en guerre (1954-1962). Vie quotidienne dans deux villages de Grande-Kabylie pendant la guerre d’indépendance algérienne : Aït-Bouadda et Moknéa »

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Carte des environs d’Ififigha

Ces deux villages sont situés sur le territoire contrôlé à l’époque par le 27e BCA et la SAS d’Iffigha, à un moment où Claude était chef de SAS à Bouzeguène.

« Ce mémoire selon son auteure, examine les conditions économiques, sociales et politiques de vie et de survie de villageois kabyles pendant la guerre d’indépendance. La place que le quotidien occupe dans la guerre est interrogée à l’échelle de deux villages aux spécificités multiples ».

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Moknéa

Comme ce travail de recherche restitue les conditions de vie d’alors, Claude se fait un devoir de le publier.

En effet la France d’aujourd’hui n’est pas responsable de la France d’hier, mais elle n’a rien à gagner à nier certaines vérités. »

Lydia Hadj-Ahmed en renouant avec ses racines à partir de témoignages locaux et de documents d’archives irréfutables a restitué de façon méthodique les conditions de vie d’une époque : un travail de recherche qui permet de mieux appréhender l’histoire du temps où l’Algérie était la France.

Comme l’écrivait Claude en 2016, (voir l’article « Devenons les messagers de l’Akfadou http://www.miages-djebels.org/spip...., le rapprochement entre les hommes passe d’abord par l’épreuve de la vérité.

Lydia Hadj-Ahmed en mettant en lumière une vérité occultée a bâti un pont solide entre le passé et le présent.

Ceux qui se sont affrontés alors les armes à la main, quel que soit leur camp d’appartenance la remercient et lui expriment leur reconnaissance.

Claude

Pour ouvrir le mémoire de Lydia Hadj-Ahmed, cliquer sur l’image ci-dessous

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La messagère de l’Akfadou est originaire des Béni Ghobri
« Deux villages en guerre (1954-1962). Vie quotidienne dans deux villages de Grande-Kabylie pendant la guerre d’indépendance algérienne : Aït-Bouadda et Moknéa »,

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