28 décembre 2010, par Akram Belkaïd
Chaque année, à cette période du solstice d’hiver, c’est la même chanson. Je ne parle pas des transports aériens qui se dérèglent, ni des routes qui deviennent impraticables, mais de l’ambiance qui entoure la fête de Noël. J’ai déjà consacré nombre de chroniques pour décrire cette espèce d’hystérie qui s’empare des gens que l’on voit cavaler d’un magasin à l’autre, les bras chargés de sacs, sans un regard pour les pauvres hères allongés sur les grilles d’aération du métro. Je ne me lasse pas d’observer leur visage (...)