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A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement

dimanche 7 février 2010, par Collectif.


L’article Le tragique destin de Maurice Feignon a été publié dans le journal "Val d’Indre" le 8 novembre 2008. Il vient de m’être communiqué par mon ami Jacques.

Villedieu-sur-Indre. Le 1er novembre dernier, le docteur Briotet, président de la Fédération nationale des médecins anciens combattants, avait fait le déplacement de Paris pour venir honorer la mémoire de Maurice Feignon, mort pour la France en mars 1956 et qui repose au cimetière de Villedieu.

Dans son hommage, le docteur Briotet retraça la vie de son collègue médecin.

Né a Paris en 1928, Maurice Feignon est, de par ses parents, berrichon, puisque Roger Feignon et Élise Mausat étaient tous les deux natifs de Villedieu et avaient gagné la capitale pour s’installer à leur compte dans une brasserie.

Maurice Feignon, après des études à la faculté de médecine, sera interne à l’hôpital du Havre.

En 1956, il part en Algérie en qualité de médecin de guerre. Il sera, comme ses collègues, sur le front. Mais son rôle sera avant tout humanitaire, intervenant en cas de besoin sur toute la population ; quelle que soit sa nationalité, civils ou militaires. « Il n’y a pas d’ennemis dans la médecine, il n’y a que des victimes qui souffrent et qui ont besoin d’aide. »

Trois mois après son arrivée en terre algérienne, Maurice Feignon sera fait prisonnier, torturé, puis tué dans d’atroces souffrances.... Une barbarie indéfinissable, dont nombre de jeunes médecins furent victimes.

A la fin de son hommage, le docteur Briotet rappelait que "Maurice Feignon consacrait ses forces à l’assistance médicale gratuite et gagnait l’estime des malades qu’il soignait, spécialement dans les populations rurales, musulmanes, qui se montraient très reconnaissantes des soins qu’il prodiguait ».

Un hommage émouvant, à la hauteur de ce jeune médecin théopolitain de souche, et qui repose à tout jamais en terre théopolitaine.

PS : le médecin Auxiliaire Maurice Feignon, était à la SAS de Sidi Djillali (Tlemcen).


Le devoir de mémoire concerne l’ensemble des personnes civiles et militaires ayant servi dans les SAS et morts pour la cause d’une Algérie qu’ils rêvaient plus fraternelle.

La liste ci-dessous demande à être complétée. Elle est établie à partir de l’article en provenance du Ministère de la Défense.

OFFICIERS ET SOUS-OFFICIERS SAS MORTS AU CHAMP D’HONNEUR

Cette liste initiale est tirée de l’étude, " Les SAS en Algérie : un outil pour la stabilisation est incomplète" voir http://www.miages-djebels.org/spip..... Elle est très incomplète.

Pour entretenir le souvenir de nos camarades, nous demandons à ceux qui détiendraient des renseignements de contacter le responsable du site. Merci.

Officiers 1956

  • Lieutenant Pierre Leprince, chef de la SAS du Vieux Marché (Sétif)
  • Médecin Auxiliaire Maurice Feignon, SAS de Sidi Djillali (Tlemcen)
  • Lieutenant Serge Cuvellier, chef de la SAS de Guendouze (Constantine)
  • Médecin Auxiliaire Jean Lepouleuf, SAS de M’chouneche (Batna)
  • Lieutenant Joseph Geffroy, chef de la SASd’Aïn Rich (Médea)
  • Médecin lieutenant Casimirius, SAS de Valee (Constantine)
  • Lieutenant Jacques Labaume, chef de la SAS de Ras Debaa (Alger)
  • Capitaine Georges Sembla, chef de la SAS de Beni Chaïb ( Alger)
  • Lieutenant Henri Jouvet des Merands, chef de la SAS de Tikobain (Tizi-Ouzou)
  • Capitaine Jean Lhote, chef de la SAS des Ouacifs (Tiii-Ouzou)
  • Lieutenant Gérard Jacquotte, chef de la SAS des Ouadhias (Tizi-Ouzou)
  • Lieutenant DUPUIS

Témoignage reçu le 5 janvier 2019 concernant le Médecin Lieutenant Lazare Roger CASIMIRIUS Mort pour la France le 24-07-1956 (Algérie) Né(e) le/en 17-12-1929

Monsieur Casimerius Roger était un ami de Famille, il était comme mon père originaire de la Martinique, ( il travaillait dans la mine de fer du village d’ El Hallia .)...le 24 juillet 1956,Casimérius Roger est venu manger chez nous en soirée, nous habitions au Bénimélek,, sur l’extérieur de Philippeville puis il est reparti chercher les enfants du capitaine Parent à Philippeville avant de rentrer sur Vallée , il avait un4X4 il ne conduisait pas, ce qui lui a permis de sauver les enfants en se couchant sur eux au moment où sa voiture est tombée dans une embuscade et a été mitraillée. Les enfants ont été quand même blessés je crois ? qu’ils étaient 2, le frère et la sœur. R.Casimérius était très connu même de la population musulmane, il avait réussi à accoucher une femme musulmane en pleine montagne......plusieurs personnes de son entourage lui déconseillait ce dévouement envers son " Prochain " et qu’il risquait d’être tué....ce à quoi il répondait...." pourquoi voulez vous que l’on me tue.... ? j’y vais avec ma trousse médicale ....sans arme ..je ne demande rien......( preuve s’il en est que le Dévouement, est une " Arme" qui fait peur.....contre le " Rapprochement des Communautés et plus largement des Êtres Humains...) le jour de ses obsèques à Philippeville, son Père et sa sœur sont venus chez nous et nous ont donné la Photo de Roger. ses obsèques ont été Très émouvantes avec un moment d’ intense émotion lorsque son aide de camp musulman qui le suivait partout est rentré dans l’église........ voila ce que je peux dire, je vous laisse le choix de publier ou non ces quelques lignes. Alex Lebrave

1957

  • Capitaine Charles Moreau, chef de la SAS de Pirette (Tizi-Ouzou)
  • Médecin Auxiliaire Jacques Varnier, SAS de Bouznina (Batna)
  • Capitaine Roger Medard, chef de la SAS de Vamier (Orléansville)
  • Lieutenant Jean-Claude Sancan, chef de la SAS Nomade de Doucen(Batna)
  • Lieutenant Jean de Pouilly, chef de la SAS d’Akourma (Sétif)
  • Capitaine André Marty, chef de l’E.L.A. de Mascara
  • Sous-lieutenant Charles Robert, chef de la SAS d’El Aouedj (Tlemcen)
  • Sous-lieutenant Eugène Fournier, chef de la SAS de Gouraye (Bône)
  • Lieutenant Rodolphe Boegli, chef de la SAS de Chetouane (Oran)
  • Médecin Auxiliaire Philippe Enault, SAS de Yakouren (Tizi.Ouzou)

1958

  • Lieutenant Jacques Pierre, chef de la SAS d’ EI Richa :’(Tiaret)
  • Lieutenant ;Jean Bireaud, chef de la SAS de Beni Ourtilane (Sétif)
  • Chef de Bataillon Jean Jigue, chef de l’E.L.A. de Frenda (Tiaret)
  • Sous-lieutenant Claude Faure, adjoint au chef de la SAS de Bou Ahmar (Batna)
  • Aspirant René Jolibois, adjoint au chef de la SAS de Jemmapes (Constantine)
  • Capitaine Michel Duhem, chef de la SAS de Hamala (Constantine)
  • Lieutenant Jean Bechu, chef de la SAS de Chellata (Sétif)
  • Lieutenant Raymond BOUCHEMAL, chef de SAS à Tassala, près de Mila à l’ouest de Constantine, disparu le 5 juillet 1958.

1959

  • Sous-lieutenant Jean-Claude Rodary, SAS de Barika (Batna)
  • Lieutenant Jean-Claude Morel-Vitre, Chef de la SAS de Bougainville (Orléansville)
  • Lieutenant Yves Schoen, chef de la SAS de l’Alma (Alger)
  • Lieutenant Joseph Mansuy, chef de la SAS de Boudjimaa (Tizi-Ouzou)
  • Lieutenant Charles Tumoine, chef de la SAS de Fedj M’raou (Bône) .
  • Lieutenant Etienne Negroni, chef de la SAS de Boughzel(Batna)
  • Aspirant Bernard Desmas, SAS de Babar (Batna)
  • Sous-lieutenant Claude Richard. SAS d’Aziz (Médea)
  • Lieutenant Ahmed Kerboua, SAS de Seddouk (Sétif)
  • Lieutenant Christian Carels, chef de la SAS de Taya (Bône)
  • Capitaine Jean Marie Alfred ESCAFFIT, chef de la SAS de El Dragen ( Bougie)

1960

  • Sous-lieutenant Lodovéo Mongiat, SAS de Nechmeya (Bône)
  • Capitaine Michel Floc’h, chef de la SAS de Betachha (Constantine)
  • Capitaine Louis Guidon, chef de la SAS de Pasteur ‘(Batna)
  • Sous-lieutenant François Perrin, SAS de Barbacha (Sétif)
  • Sous-lieutenant Pierre Denantes, SAS de Souk el Haad (Tizi-Ouzou)
  • Lieutenant Jean-Marie Le Goff, chef de la SAS de Behagle (Sétif)
  • Lieutenant Bernard Humbert, chef de la SAS de Tassala (Constantine)
  • Capitaine René Valentin, chef de la SAS de Bouandas Bou Sellam (Setif)

1961

  • Aspirant Dominique Lescieux, SAS d’Adhioune (Sétif)
  • Lieutenant Jean-Marc I.e Guen, chef de la SAS de Smaoun (Sétif)
  • Sous-lieutenant Guy Benoit, SAS de Malakoff (Orlransville)
  • Sous-lieutenant Michel Biaugeaud, chef de la SAS de Beni Ilmane (Sétif)
  • Sous-lieutenant Gérard Terrezano, chef de la SAS de M’doukal (Batna)
  • Capitaine Françis Picard, ELD deTiaret
  • Sous-lieutenant Pierre Delaveau, SAS de Zenina (Médea)
  • Capitaine Jacques Neuser, chef de la SAS de Zenina (Médea)

1962

  • Lieutenant Daniel Morin, chef de la SAS de M’doukal (Batna) (3)
  • Sous-lieutenant Claude Pessini, chef de SAS de Texenna (Constantine)
  • Sous-lieutenant François Bernard, chef de la SAS de Bouderballa
  • Aspirant Pierre Goetz, SAS d’El Attabia (Constantine)
  • Capitaine Georges Deleuze, chef de la SAS de Tourtatsine (Médea)
  • Sous-lieutenant Eugène Fristel, chef de la SAS de Francis.Garnier. (Constantine)
  • Lieutenant Georges Llopis, chef de la SAS d’Affreville (Orléansville)
  • Lieutenant François LE MERRE, SAS de Dehemcha (Périgotville, Kerrata, Sétif) porté disparu le 24 avril 1962.

Sous-officiers 1956

  • M.D.L. Georges Lafond, SAS de Yakouren (Tizi-Ouzou)

1957

  • Sergent Georges Goret, SAS de Ifigha (Tizi-Ouzou)
  • Sergent-chef Arthur Lecocq, SAS de Djeballa (Tlemcen)
  • M.D.L. Paul Audelan, SAS de Tifrit (Tizi-Ouzou)
  • M.D.L.-Chef Roger Daouda, SAS de Barbacha (Sétif)
  • Sergent-chef Roland Gerling, SAS d’Arris (Batna)

1958

  • Sergent-chef Daniel Hannicotte, SAS de Djellali Ben Amar (Tiaret)
  • M.D.L. Michel Guillaume, E.L.D. Tizi-Ouzou
  • Sergent-chef Jacques Lecomte,SAS de El Meridj (Bône)
  • Sergent-chef Louis Creste, SAS de Tacheta Zouggara (Orléansville)

1959

  • Sergent Francis Desbiolles, SAS de Feid El Botna (Médea)
  • Sergent René Pasquet, SAS de la Marsa (Bône)
  • Sergent-chef Maurice Varlet, SAS de Boughzel (Batna)
  • Adjudant-chef Octave Coussot, SAS de Ouled Djellal (Médea)

1960

  • Adjudant Claude Muet, SAS de El Alef (Mostaganem)
  • Sergent Roger Delpey, SAS d’Adekar (Séfif)
  • Sergent-chef Michel Durin, SAS de Guentis (Bône)
  • Sergent-chef Henri Cathtelin, SAS d’Oued Oughat (Mêdea)
  • Sergent-chef Hafid Maouz, SAS de Camp des Chênes (Médea) 1961
  • M.D.L.-Chef Vinrent Cazoria, SAS de Oued Oughat (Médea)
  • Adjudant-chef Jean Santoni, SAS de Bou Saada (Médea)

47 Messages de forum

  • de mai 1960 à septembre, j’ai fait mes classes à VANNES au 5ème Cuirs. J’étais dans le même peloton qu’Eugène FRISTEL,lequel est ensuite parti à SAUMUR faire le E.O.R.... puis il est parti en Algérie com- me chef de S.A.S.Il y a quelques années j’ai appris qu’il n’en était pas revenu.DCD, le 4 mars 1962. A vannes, c’était un peu notre grand frère, plus mature que la majori- té d’entre nous qui avions 20 ans.Lui,sursitaire,en avait 26.C’était aussi notre "homme de base" parceque, très grand.Dansle civil, il était Inspecteur des Douanes et je crois qu’il habitait MORLAIX. Quelqu’un peut-il me donner les circonstances de sa mort ?

    • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 11 janvier 2011 12:42, par DUMOULIN Philippe

      De Mars à Août 1960, j’ai fait les EOR à SAUMUR avec Gérard Terrezano. En Septembre 1960 il a été nommé officier SAS à M’DOUKAL et moi dans un peloton blindé dans les Aurès. En Janvier 1961 mon peloton est affecté à BARIKA et c’est avec joie que je retrouve mon ami Gérard TERREZANO dans son petit paradis de M’DOUKAL (le veinard !) En Avril 1961 je rejoins mon régiment le 4°RCA qui est affecté sur le Barrage Tunisien Fin 61 j’apprends avec une très grande tristesse que mon ami a été tué le 21 Novembre 1961 Depuis, je ne peux l’oublier J’ai n’ai aucun renseignement sur sa mort ni sur sa famille. Toutes mes démarches restent vaines Quelqu’un peut-il me renseigner Merci de tout cœur

      NB : Son successeur (?) le Lieutenant Daniel MORIN SAS à M’DOUKAL a été tué en 1962 (M’DOUKAL n’était donc pas le Paradis que je croyais...moi même, j’ai sauté sur mine et suis tombé deux fois dans une embuscade aux alentours de M’DOUKAL !!!)

      • Bjr

        je n’etais pas de vos divers deplacements ou Rgts , mais si vous connaissez la region de naisssance ou habitation de votre ami il est assez facile soit de contact la mairie etat civil, ou si vous voulez indiquez moi ces lieux et je vaiis essayer de faire une recherche si vous connaissez l’histoire de Bouchemeal, j’aen ai retrouve trace et temoins en Kabylie lp parisljm@aol.com

      • je suis reste tres peut de temps avec le lieutenant terrezano car detacher du 8rs 1mois a vant sa mort il a saute sur une mine sur la piste de barika avec l infirmiere seule l infimiere en a recha pee quand au lieutenant morin il s est fait tuer en fevrier 62 en operation de 2balles dant la poitrine je luis est pre san te les armes le jour de sa sepulture a batna

      • Bonjour M. Dumoulin,

        Je suis la petite-nièce de Gérard Terrezano. Je vous mets ici un moyen de me contacter si vous avez gardé un oeil sur ce forum malgré les années.

        suthafiori@hotmail.fr

        Cordialement, Marie-Charlotte

        • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 13 janvier 2022 19:04, par Phil dit Philou

          Je pense que le mail adressé à suthafiori ne vous est pas parvenu.... J’ai retrouvé des photos de Gerard Terrezano prises dans l’oasis de M’Doukal en janvier 1961. Je peux vous les faire parvenir soit par La Poste, soit par mail... Vous pouvez me contacter par mail philippe.dumoulin1 @orange.fr soit au 05 63 32 12 83 Je vais avoir 87 ans demain, alors dépéchez-vous !... Recevez, Marie-Charlotte, l’expression de mes sentiments les meilleurs

    • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 13 mars 2012 11:21, par HELLIVAN Alain

      J’ai très bien connu Eugène Fristel. J’ai, comme lui, été inspecteur-élève à l’Ecole Nationale des Douanes.Nous nous sommes cotoyés dans cette école pendant deux ans . Il était titulaire d’une licence en droit après études à la Fac de Rennes. Nous étions d’autant plus amis que dans cette école située alors à Neuilly, les bretons étaient peu nombreux. A l’issue de l’école, Eugène remplissait ses obligations militaires. Réformé, pour ma part, j’étais affecté, en stage, puis titularisé à Alger. Pendant son séjour en Algérie,Eugène est venu me rendre de rares visites.L’avenir nous paraissait incertain et même, pour lui, carrément fichu.Pour sa part, c’était presque un testament oral : que son sacrifice imposé soit reconnu au moins par la pose d’une plaque rappelant son nom à l’END, comme cela avait été le cas pour je crois deux de nos prédécesseurs dans cette école. Vous pouvez me contacter par courriel : alain.hellivan@orange.fr

  • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 13 avril 2011 07:53, par Justine Carrie

    Je suis actuellement à la recherche d’une personne d’écrire une biographie sur qui sert de mon dernier article avant mon diplôme. J’ai vraiment besoin de faire un excellent document pour que je puisse l’inclure dans ma resume writing et que le travail que je veux vraiment. Cet article sera très utile pour moi d’atteindre.

  • J’ai été très surpris et heureux de trouver ces quelques lignes à la mémoire du lieutenant jean marc LEGOFF que j’ai connu à BEHAGLE en 1959 lors de son installation et de la création de la SAS. A l’époque, j’étais étudiant, et le HAUT COMMISSARIAT A LA JEUNESSE ET AUX SPORTS sous la présidence de HERTZOG proposait après queques cours d’arabe dialectif, à des étudiants de passer leur 3 mois de vacances en Algérie pour y aider et découvrir la situation entre les populations. Pour des raisons d’assurance nous étions traités comme officier, tout en gardant notre statut de civil. Affecté dans un premier temps à Saint ARNAUD au recensement des besoins dans une camp de regroupement, j’ai par suite demandé au lieutenant colonel LAURIERE à Sétif une affectation plus conforme à mes aspirations. J’ai donc rejoint BEHAGLE mi juillet où j’ai aidé à l’AMG pendant les 3mois qu’ont duré monséjour. J’ai été particulièrement touché par la gentillesse, l’ouverture d’esprit et l’engagemen de mon chef de SAS le Lt LEGOFF. nous avons correspondu un moment, puis j’ai appris son décès au cours d’un engagement. Je crois qu’il était très apprécié de la population dont il comprenait les besoins et connaissait les difficultés. je suis heureux de ces quelques lignes à sa mémoire. RIP.

    • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 9 mars 2013 17:34, par Frédéric LE GOFF

      Monsieur, Par le plus grand des hasards en procédant à un rectificatif sur le site « www.miages-djebels.org » au sujet du prénom de mon père, Jean-Marie LE GOFF, ma mère et moi avons pris connaissance avec beaucoup d’émotions de votre commentaire. Cela fût, surtout pour ma mère, un plongeon dans un passé heureux. Merci pour votre mémoire et l’évocation de souvenirs partagés, élogieux à l’égard de mon père. Ma mère se souvient bien de votre passage à la SAS de Behagle, un peu moins de celui de votre collègue étudiant. En revanche pas moyen de remettre un nom et un prénom sur votre personne. Et croyez le bien, elle le regrette. Nous avons retrouvé quelques photographies que nous pouvons tenir à votre disposition si vous le souhaitez. Ma mère vous adressant ses meilleurs souvenirs, recevez monsieur, mes salutations respectueuses et compte tenu des années écoulées, je vous souhaite tous mes vœux de santé.

      • bonjour je cherche des ronseigment de lieutenant girard christian de la sas oued sebt boumedfa merci mon tel 07 90 30 21 77

      • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 21 avril 2017 17:05, par PENALVA Robert

        Bonjour , Je m’appelle PENALVA Robert et j’étais instituteur civil à Behagle de 1959 à 1962 . J’ai bien connu votre papa le lieutenant Jean Marie LE GOFF et votre maman et présent le terrible jour où il a été tué . C’était un type formidable avec lequel j’avais lié une solide amitié. Vous imaginez mon émotion en lisant ,par hasard sur mon ordinateur,votre réponse à cet étudiant qui connut votre papa . Si le hasard vous conduit à lire ce message ,vous pouvez prendre contact avec moi : rpenalva@orange.fr . Vous pouvez aussi en savoir davantage sur moi sur Google ( Robert PENALVA ,maire etc...) En espérant être contacté , veuillez croire à mon plus amical salut. Robert PENALVA

    • Je croix que le lt jean marie le goff s a s de behagle est mort en 1960

      • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 22 avril 2017 11:40, par PENALVA Robert

        Oui , le lieutenant Le Goff a été tué au cours d’un engagement en 1960 . J’étais instituteur civil à Behagle de 1959 à 1962 et j’ai bien connu le lieutenant de la SAS de Behagle . C’était il y a très longtemps mais cette période est restée gravée en moi pour toujours.

    • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 21 avril 2017 16:49, par PENALVA Robert

      Bonjour , Je m’appelle Robert PENALVA et j’étais instituteur civil à Behagle d’octobre 1959 à juin 1962 . J’ai bien connu le lieutenant Le Goff , j’étais à Behagle quand il a été tué et je me souviendrai toujours de ce triste jour . Comprenez ma surprise et mon émotion en découvrant votre mot par hazard sur mon ordinateur . Un choc pour moi qui ai bien connu et fréquenté le lieutenant dans cette terrible période de ma vie . C’est loin mais je n’ai rien oublié et n’oublierai jamais . Avez vous connu aussi le sous-lieutenant Estanguet et le secrétaire de la SAS mon ami monsieur BUIL ? Une réponse me toucherait . Mon mail rpenalva@orange.fr

  • je reherche des informations sur tuer le chef de la sas d’un Ain rich lieutenant JOSEPH GEFFRYO 1956 par des soldats algerien FLN . j’habite dans commune Ain rich wilaya Msila . envoyer moi au mon email : jaberano120@gmail.com

    merci a tous .

    • mon cher humin si vous cherchez qui a commit cette tuerie et moi je cherche qui a commit celle de mon grand _pere a PARIS dans son cafeteria nomme SMAIL AHMED ET RECONNU CETTE ACT COMMIT PAR LA POLICE Fancaise en vrait pour nous le tueur c est -LA GERRE-

    • Si nous chechons qui a commit les tueries de nos autres ont s angloutient dans notres tempts .Et le tueure et bien vesible mais il aime te laissait chercher pour que tu ne verra a jamais les crimes qu il les exerce actuellement avc ses gerres ET le tueure de nos autres c est bien la GERRE avec ls memes hoteures

    • GEOFFROY Paul Lieutenant d’Infanterie +10 06 1956 Aïn-Rich (Bou-Saada)

    • Bonjour

      je reponds a votre message,

      pouvez vous svp m’en dire plus ?

      (vous cherchez des renseignemnts ou vous pouvez en "donner".. ? )

      merci pour votre reponse Lp

    • Salut, je suis originaire de Ain-Rich j’ai eu quelques renseignements concernant le lieutenant GEFFROY Joseph qui était au camp militaire de Ain-Rich que j’ai trouvé sur le net. J’espère que vous aurez besoin. GEFFROY Joseph Jean Georges Né le 20/03/1931 à Côtes-d’Armor France. Fils de Narcisse GEFFROY et d’Anne Marie LE TROQUER. Lieutenant des Affaires Algériennes, chef de la Section Administrative Spécialisée (S.A.S.) d’Aïn Rich. Assassiné le 10 juin 1956 à 00h30 à son domicile avec son épouse par un commando du F.L.N à l’âge de 25 ans. A Ain-Rich, Il habitait derrière l’ancienne école sur la route qui mène à DJENNA à Ain-Rich. Acte de décès dressé le 11 juin 1956 à l’état-civil européen de Bou Saada. Une plaque commémorative honore sa mémoire sur la tombe familiale du cimetière Saint-Michel à Saint-Brieuc. Le camp d’Ain-Rich (S.A.S.) Avait pris son nom jusqu’au 1995. Amitiés. Ali

      • Le Lieutenant Geffroy ainsi que son épouse n’ont pas été assassinés à leur domicile mais au poste militaire dont le Lieutenant avait la charge et qui avait été rejoint par sa femme quelques jours auparavant contre l’avis de tout le monde à Bou Saada. Les faits :"Vers 23h, quelques fellaghas (2 ou 3) entraient au poste. C’était convenu personne ne dit rien. Un moghazni alla appeler Geffroy qui dormait. Il sortit et reçut alors un formidable coup de pioche sur la tête, ce qui fit éclater la boite cranienne. Une fois à terre le visage de Geffroy fut labouré de coups de baionnettes. Au bruit, et aux gémissements aussi, Mme Geffroy arriva en chemise de nuit. Agenouillée près de son mari, elle se mit à hurler. Cependant les fellaghas la laissérent... Ils revinrent ; elle les supplia de la tuer. Ce qu’ils firent à coups de baionnette, l’un lui traversant le corps en haut de l’abdomen. Au cours de cette affaire, pas un coup de feu ne fut tiré : les moghaznis étaient dans le coup depuis 4 jours..." Rapport d’un officier SAS écrit à mon père le 19 juin 1956. Madame Geffroy était enceinte d’environ six mois lors de son assassinat, elle était ma marraine de confirmation.

  • peut ont avoir des information et renseignements sur les deux lieutenant jean bechu chef de la sas chellata svp et jean de pouilly chef de la sas de akrouma ss ils ont vivant ou bien pour les contacter et merci bien

    • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 30 novembre 2016 11:16, par Rosen née Béchu

      Je suis une des enfants du lieutenant Jean Béchu. Il est mort le 15 décembre 1958 dans une embuscade alors qu’il rejoignait le poste IGHZER-AMOKRANE. Puis-je savoir pourquoi vous souhaitiez des informations au sujet de mon père ? En ce qui me concerne, je n’avais alors que 7 ans à sa mort. Je n’ai que très peu de souvenirs de mon père. Toute information provenant de personnes qui auraient pu le connaître m’intéresserait vivement ; Et, par avance, je vous en remercie.

  • Bonjour, quelqu’un pourrait-il me parler de Michel CAES de Ronchin (Nord) un sous-lieutenant mort en Algérie. C’était mon cousin. Merci. phl@philippelaurent.fr

  • le sergent Delpey. je voudrai échanger ne lettre , au moins une fois avec quelque personne proche du sergent Delpey, J’ai vécu, l’avant et l’apr"s de cette embuscade et j’auri pu être de ce convoi...

    • C’est triste que personne ne se souvienne du sergent Delpey de la sas d’adekar , il

      y a bien un camarade de chez lamotte blanc ou de chez pigeon qui pourrait nous

      éclairer sur les circonstances de sa mort.

      salutations à tous.

    • Je possède deux photos du sergent Delpey défilant à Adekar avec sa section lors de la cérémonie de la remise du drapeau du 11° RIMA au 2°bataillon , un an avant cette tragique tuerie qui fit 19 morts.

      • bonjour,

        effectivement les dates de naissance et de décès du sergent delpey correspondent bien à celles de mon oncle que j’ai très peu connu , ayant pas tout à fait 3 ans lors de son décès. il était né à paris et avait servit en indochine.

        Pourriez vous dans la mesure du possible me scanner les 2 photos et me les envoyer sur mon mail afin que je vérifie sur une photo que j’ai de lui si c’est bien la personne dont vous parler.

        Cordialement

        • Bonjour. Je veux bien vous envoyer les deux originaux que je peux décoller de mon album. Postez moi une lettre contenant simplement votre adresse pour vous les expédier. La mienne c’est : L Le Bezvoet, 17 Rte de Kergadou 22620 Ploubazlanec.Si cela vous convient, cela me ferais plaisir de donner ces photos à sa famille. Aurevoir.

          • Je vous remercie pour votre gentillesse. Actuellement en déplacement je ne manquerais pas de vous envoyer une enveloppe timbrée avec mon adresse pour l’envoie des photos. Dès la réception de celles-ci je les montrerai à mon frère aîné qui devrait me confirmer si s’est bien mon oncle. Dans le cas contraire je vous renverrai les photos.

            Par avance merci. Cordialement

            • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 1er septembre 2018 14:20, par Le Bezvoet

              Bonjour à vous.J’ai reçu votre courrier.Je prépare tout cela à l’instant et ne vous inquiétez pas puisque j’ai tout scanné dans mes cahiers de souvenirs de mon service en Algérie.A plus tard !

        • envoyez-moi une adresse par la poste pour vous envoyer ces deux photos.Moi :(L.Lebezvoet 17, Route de Kergadou 22620 Ploubazlanec.

    • Bonjour,

      J’ai effectivement un oncle qui s’appelait Roger DELPEY et qui est mort en algérie durant la guerre. Il était sergent il serait mort dans une embuscade.

      Néanmoins je ne sais pas si c’est la personne que vous décrivez et je n’ai pas beaucoup plus de renseignement sur lui.

      Si vous pouviez me donner plus de renseignement sur lui , je pourrais vous confirmer si c’est la bonne personne.

      Merci par avance de votre réponse.

      • Bonjour, D’après le site mémoire des hommes, Roger Pierre DELPEY est mort pour la France le 20-07-1960 (Algérie). Il est né le 26-04-1926 Cordialement Claude

      • Bonjour à vous aussi. Je possède deux photos différentes où il défile avec sa section de Mohgaznis à Adékar. Elles datent de 1959. J’ai écrit un résumé de cette malheureuse journée à Mr Grandjacques dans "Miages’djebels. Le lieu de l’embuscade, -vous pouvez le voir dans la vidéo qui passe sur You-tube : l’embuscade du Pont de Sfaya.Vous verrez le pont où a eu lieu se drame que je connais bien. A plus tard et merci pour vos questions

        .

  • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 11 juillet 2017 20:01, par Seddik LARDJANE, un passionné des lettres et de l’histoire des (...)

    En ce qui concerne le Mdl Paul Audelan, chef de la Sas de Tifrit Nait El Hadj dans la wilaya de Tizi Ouzou, mort par attentat en septembre 1957, j’apporte le témoignage suivant ; c’était jour de marché et les habitants des hameaux voisins sont venus nombreux pour retirer leurs Bons d’approvisionnements à la la Sas. A son habitude, Paul Audelan, armé de son PA et d’une MAT 49, est descendu chez le principal commerçant (à 15 m de la Sas) pour "blaguer" avec les gens et ignorait qu’il avait rendez-vous avec la mort. Deux jeunes candidats pour le maquis, l’un armé d’un revolver, a tiré les deux balles mortelles et a soustrait l’arme de poing , tandis que l’autre avec sa cisaille, a coupé la chaînette retenant la mitraillette à emporter avec les chargeurs. Ils ont réussi à fuir dans les bois et la sentinelle postée au mirador, a tiré une rafale de FM au dessus de leurs têtes, de "crainte de toucher des civils". Le soldat sera jugé par le TM et condamné au peloton d’exécution pour "lâcheté" devant l’ennemi. Sa famille en France, recevra ce télégramme ; "le soldat Jean Dupont, est porté disparu". J’avais 12 ans à l’époque et me trouvais en "vacances" au bled, chez mon oncle. Ce jour-là, je revenais à dos d’âne des champs, avec une corbeille de figues fraîches de premier choix et arrivé devant l’échoppe, le chef de Sas me héla ;" Eh l’algérois, je peux avoir deux figues ! " Mais bien sûr, mon sergent. Choisissez". Il prit trois ou quatre figues et moi, mon chemin. Moins de cinq minutés, j’ai entendu les deux détonations et un soldat crier ; "apportez une civière, le sergent Audelan est mort". C’était la guerre.

    • YAKOUREN le 14-04-2018 Cher Seddik LARDJANE Je tenais à vous exprimer mes très vifs remerciements pour le témoignage laissé sur le site . ‘’En ce qui concerne le Mdl Paul Audelan, chef de la Sas de Tifrit Nait El Hadj dans la wilaya de Tizi Ouzou, mort par attentat en septembre 1957’’ Cher seddik LARDJANE effectivement vous etes un grand passionné des lettres et de l’histoire des (...) J’ai lu et relu votre message au moin 4 fois , vous avez laissé pas mal d’indices … Moi je cherche sur les deux candidats jeunes qui ont attaqué paul audelan , d’apres les dires, deux jeunes d’ait aissi ont fait un attentat vers les années 57 a tifrit n’ait el hadj Mais je manque de détails pour compléter ton témoignage . arezki

  • BONJOUR ET TOUS MES RESPECTS A TOUS.

    Au sujet du sergent Delpey de la sas d’adekar, je me demande s’il n’y aurait pas un rapprochement à faire entre l’embuscade dans laquelle il est tombé avec la majorité de sa section, et, l’embuscade du pont de Fayah organisée par le F.L.N, catastrophique pour les français . J’y pense tellement souvent.

    • En effet, il s’agit bien de l’embuscade du pont dit Sfayah ou Sfayeh (et non pas Fayah) sur les hauteurs des villages d’Assif El Hammam. Embuscade organisée conjointement par une section de la Katiba 324 et une autre du Bataillon de Choc de la Wilaya III. Cette embuscade qui a eut lieu soit le 21 ou le 22 juillet 60 s’était soldée par la mort de 19 militaires dont le Sgt Roger Delpey et 13 Harkis.

      • Merci à la personne auteure du message précédent.Quand j’ai vu la vidéo de la cie 324, j’ai compris tout de suite qu’il y avait une part d’erreur dedans.Le rapport du lieutenant Alloua et la réponse du colonel Mohand, a une tournure de propagande.

        Le sergent Roger Delpey et sa section, n’auraient pas dû se trouver à cet endroit ce vendredi 22 juillet 1960.

        J’étais opérateur radio au P.C d’Adékar.Ce vendredi, j’ai pris le service à 8 heure du matin au P.C.Le convoi pour El- Kseur est parti à 8 heures également, il comprenait comme chaque second vendredi, des civils , plusieurs camions avec des denrées et des animaux et l’escorte habituelle et le retour repartait de El-Kseur vers 16heure.

        Vers 9 heure, au Pc nous avons reçu une communication en phonie d’une unité voisine pour nous avertir que dans la nuit du jeudi au vendredi , lis avaient intercepté un facteur porteur d’un message à l’autorité fln supérieure.Ce message disait tout simplement qu’il y avait un bon coup à faire sur ce convoi.Il expliquait que ceconvoi, au retour n’était plus escorté à partir de la limite du secteur relevant des militaires d’Adékar.Entre les lignes, cela voulait dire que les fln pouvait se ravitailler sans problème puisque les militaires d’à côté ne venaient jamais.Toutes les unités concernées ont été prévenues, l’unité qui devait prendre la suite bien que prévenue, n’est pas venue. L’escorte d’Adékar, lasse d’attendre a continué jusqu’au point final du retour.

        On dit, que cela à fait aux fln de changer sa manoeuvre et d’attaquer au retour l’escorte.

        Le résultat est là... La suite,

  • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 18 avril 2018 18:36, par FETIVEAU Michel

    Le Capitaine René PORTMAN SAS à FRANCIS GARNIER petit bourg au bord de la mer situé entre CHERCHELL et TENES, à été tué dans une embuscade alors qu’il circulait seul dans sa 403. Ce secteur était tenu par le 22ème RI.

  • Manque le Docteur Calmette tué dans l’oranais en 1957/58 région de Bossuet

    • Est ce que une personne a des informations au sujet de mon père le Sergent SAS Francis DESBIOLLES, assassiné le 29 janvier 1959 à Tittéri ?

      Merci d’avance, Coordonnées téléphonique 0610381402 et mail morin-claude1@orange.fr

  • A la mémoire du personnel des SAS, victime de son engagement 9 avril 2020 22:34, par Chakhchoukh miloud

    ceux qui ont fait le coup au lieutenant de SAS de Ain rich sont les fels de Cheikh Ziane Achour notament Lazrag +rafal et quelques villageois qui ont procures une echelle pour se positionner sur le toit d’une maison du village que Mahmoudi ali adjoint du caid avait loue a geoffrey .le lieutenant et son epouse avaient ete assassines par balles .


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