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Livres anciens numérisés consacrés à l’histoire de l’Algérie.

mardi 18 août 2009, par Alain SPENATTO


" Ne pas rire, ne pas déplorer, ne pas détester, mais comprendre. " Spinoza.

Tous nos remerciements à Alain Spenatto qui fait sienne cette maxime de Spinoza et met en ligne toute une collection de livres anciens ( du 14° au 20° siècle) consacrés à l’histoire de l’’Algérie. Les conditions techniques d’accès sont absolument remarquables.

La plupart des ouvrages peuvent être téléchargés ou d’autres lus en ligne.

A titre d’exemples, voici les livres d’histoire consultables à ce jour. http://www.algerie-ancienne.com/liv... Des trésors en ligne.


Titre : Histoire des souverains du Maghreb . Description : 300 pages, 970 ko. Titre : Roudh el-Kartas : Histoire des souverains du Maghreb (Espagne et Maroc) et annales de la ville de Fès. Il s’agit de la traduction d’un manuscrit arabe : Roudh el-Kartas, le Jardin des feuillets, écrit à la cour de Fès, en 1326, sur les livres et les documents les plus authentiques de l’époque, par l’imam Abou Mohammed Salah ben Abd el-Halim, de Grenade. Ce livre nous éclaire sur Cinq siècles et demi de l’histoire d’Occident, durant lesquels cinq dynasties et quarante-huit émirs se sont succédés sur le trône de Fès et de Maroc. Traducteur : A. BEAUMIER, agent vice-consul de France à Rabat et Salé (Maroc) chevalier de la légion d’honneur. Publié sous les auspices du ministère des affaires étrangères en 1860.


Titre : Préparatifs pour surprendre Alger. Description : 26 pages, 149 ko.

Cette lettre vient combler une lacune regrettable ; elle nous apprend qu’en 1601, Philippe III dirigea contre Alger une flotte de soixante-dix galères et une armée de plus de dix mille hommes, sous le commandement du prince Andrettino Doria. On verra par la lecture de la lettre de Conestaggio combien il eût été facile de réussir, et à quels événements divers on doit attribuer l’insuccès de cette grande entreprise. Ce document, traduit par H.-D. DE GRAMMONT, semble être resté inconnu jusqu’à cette publication de 1882. Il se classe parmi les plus curieux et les plus intéressants ; non seulement il révèle des faits entièrement ignorés de la plupart de ceux qui s’occupaient de l’histoire d’Alger avant cette date, mais il permet en outre de se rendre compte des véritables motifs de la petite attaque faite sur Mers-el-Fhâm, deux ans après, par le vice-roi de Minorque.


Titre : Histoire de l’Afrique. Description : 534 pages, 862 ko. Auteur : MOH’AMMED-BEN-ABI-EL-RAÏNI-EL-K’AÏROUÀNI. La traduction de ce manuscrit arabe de 1681, assurée par MM. E. PELLISSIER ET RÉMUSAT, fut publiée en 1845 par ordre du gouvernement et avec le concours d’une commission académique des sciences historiques et géographiques. Le but principal d’El-K’aïrouâni a été d’écrire l’histoire du royaume de Tunis, c’est-à-dire de l’Afrique proprement dite, en prenant ce mot dans le sens restreint que lui donnaient les anciens. Mais notre auteur a écrit, par le fait, l’histoire de toute la Barbarie jusqu’au XIIIe siècle. Dans cette dernière partie de son travail, il est écrivain original ; car, comme il a soin de le dire, depuis la chute des Beni-H’afez, Tunis n’eut pas d’autre historien que lui.


Titre : Histoire du Royaume d’Alger. Description : 362 pages, 719 ko. Auteur : Jacques Philippe LAUGIER DE TASSY. Edition de Amsterdam, H. Du Sauzet, 1725.

« Je ne donne qu’un abrégé, ou pour mieux dire une idée de l’ancienneté de ce Royaume & de ses révolutions ; je ne me suis attaché qu’à l’état de son gouvernement présent, en écrivant ce que j’ai vu, ce que j’ai appris sur les lieux, & ce que j’ai trouvé dans les mémoires que j’ai recueillis dans les maisons chrétiennes qui y sont établies. J’ai inséré dans cet ouvrage quelques aventures ou historiettes, qui ont du rapport aux sujets qui y sont traités. Il y en a dont j’ai été témoin, & d’autres de si fraîche date, & dont la vérité est si positivement affirmée par les habitants du pays, qu’on ne saurait les révoquer en doute, sans pousser trop loin l’incrédulité. » Bien que cet ouvrage soit très connu, son auteur demeure mystérieux (Voir Turbet-Delof) ; On sait qu’il n’a séjourné que quelques mois à Alger avant d’écrire son livre ; son ton est très libre, et ses « historiettes » savoureuses. A télécharger absolument !


Titre : Algérie. Description : 694 pages, 1300 ko.

Dans cet ouvrage, trois officiers de l’État Major du Corps expéditionnaire s’attachent à faire connaître à l’Europe, par une description géographique et une relation historique, le Maghreb central quasi inconnu à l’époque. Claude-Antoine ROZET, Ingénieur géographe y donne un aperçu de géographie extrait d’importants ouvrages qu’il avait publiés par ailleurs. De son côté, Antoine-Michel CARETTE, Capitaine du Génie, membre de la « Commission Scientifique de l’Algérie » y produit une description géographique exhaustive en utilisant ses investigations sur la Kabylie, les migrations des tribus et le commerce indigène. Quant à la synthèse historique, elle est élaborée Ismaël URBAIN, officier interprète et publiciste. Saint simonien militant, URBAIN n’a cessé, sa vie durant, de prêcher en faveur de la nation algérienne. Les oeuvres de ces officiers d’élite, érudits et administrateurs de talent, sauvegardent le patrimoine culturel du Grand Maghreb. Édition de 1860 dans la revue « L’Univers », réédition par BOUSLAMA. TUNIS. En 1980.


Titre : Algérie - Histoire des guerres des Romains, des Byzantins et des Vandales. Description : 391 pages, 918 ko Auteur : Adolphe DUREAU DE LA MALLE. Éditions Firmin Didot, 1852. « 

Ce livre a été resserré en un très petit format, pour que le soldat, le sous-officier, l’officier supérieur ou inférieur qui se sentirait du goût pour la géographie, l’administration ancienne, en un mot, pour l’archéologie de l’Afrique, pût le mettre dans son sac, et le parcourir pendant ses loisirs de bivouac ou de garnison. Il contient le récit ou la mention de tous les faits mémorables qui se sont succédé dans la partie de l’Afrique septentrionale connue, il y a 22 ans, sous le nom de Régence d’Alger, et maintenant sous celui d’Algérie. »


Titre : LE COMMERCE ET LA NAVIGATION DE L’ALGÉRIE. Description : 389 pages, 1023 ko Auteur : F. ÉLIE DE LA PRIMAUDAIE.

J’ai rassemblé en un seul ouvrage, plusieurs articles de l’auteur, publiés dans la « Revue Algérienne et coloniale en juin 1860 ». Je crois savoir qu’il existe une édition regroupant ces mêmes articles, mais je ne l’ai jamais eue en mains. L’auteur parle longuement du « Bastion de France » et de « La Calle ». Pour faire plaisir à des amis (et à moi-même !), j’ai ajouté au texte de « La Primaudaie », des extraits de « Histoire de Barbarie », de Pierre DAN, et de « La côte d’Algérie », par Carette, pour enrichir le sujet. Je possède sur micro-film, le fameux ouvrage de "MASSON" (1903), traitant des mêmes sujets, mais je ne le numériserai pas tout de suite.


Titre : HISTOIRE DE LA CONQUÊTE D’ALGER. Description : 623 pages, 1000 ko. Auteur : Alfred NETTEMENT. LIBRAIRIE JACQUES LECOFFRE 1867.

37 ans après l’expédition, les principaux protagonistes étant disparus, « L’historien se trouve donc, par rapport à la conquête d’Alger, dans les conditions de la véracité et de l’impartialité la plus complète... Nous avons cru devoir faire un livre rigoureusement impartial, complet, soigneusement étudié, puisé aux sources les plus authentiques. » Pour celui qui veut connaître tous les détails de l’expédition de 1830, je pense que cet ouvrage est inégalable. On peut le compléter par le livre de Henri NOGUÈRES « L’Expédition d’Alger 1830. » que l’on trouve chez les bouquinistes, et bien sûr, par les documents de BOUTIN, sans parler de l’ouvrage « Boutin agent secret de Napoléon »... pour ceux qui peuvent se le procurer !!!


Titre : La Marine de la Régence d’Alger Description : 39 pages, 173 ko. Auteur : ALBERT DEVOULX.

L’auteur a puisé les éléments de cette étude dans diverses pièces inédites à l’époque et principalement dans un document appartenant aux archives du consulat de France à Alger, qu’il a été le premier à exploiter. L’ouvrage le plus complet sur « l’Histoire de la Marine Algérienne » est la thèse de Doctorat de M. BELHAMISSI, 3 tomes très riches, introuvables actuellement, car ils ont été publiés en trop peu d’exemplaires. Cette oeuvre attend un éditeur.


Titre : HISTOIRE DE LA BERBÉRIE Tome II (de 1045 à 1515). Description : 448 pages, 1221 ko. Auteur : Ernest MERCIER (1820 - 1907), interprète militaire (1865), puis judiciaire, d’abord à Ténès, où, pendant l’insurrection de 1871, il commanda la milice. Établi à Constantine dont il fut deux fois maire (élu du parti antisémite ! en 1883 et 1896) et conseiller général (1898), il s’adonna à l’étude de la langue et de l’histoire du pays. Son œuvre maîtresse, celle qui est proposée ici, le seul ouvrage d’ensemble sur le sujet, a été maintes fois utilisée, sans que ceux qui en on profité l’aient toujours citée.

Contenu de ce deuxième tome : Période Berbère et Arabe Hilalienne, jusqu’à la chute du royaume de Grenade et des incursions des Espagnols en Afrique avec l’apparition « des Barberousse ».


Titre : HISTOIRE DE LA BERBÉRIE Tome III (de 1515 à 1830). Description : 448 pages, 1221 ko. Auteur : Ernest MERCIER (1820 - 1907), interprète militaire (1865), puis judiciaire, d’abord à Ténès, où, pendant l’insurrection de 1871, il commanda la milice. Établi à Constantine dont il fut deux fois maire (élu du parti antisémite ! en 1883 et 1896) et conseiller général (1898), il s’adonna à l’étude de la langue et de l’histoire du pays. Son œuvre maîtresse, celle qui est proposée ici, le seul ouvrage d’ensemble sur le sujet, a été maintes fois utilisée, sans que ceux qui en on profité l’aient toujours citée. Contenu de ce troisième tome : L’auteur traite ici toute la période « TURQUE ET CHÉRIFIENNE de 1515 à 1830 »


Titre : Traités de la France avec les Pays d’Afrique du Nord ; Algérie, Tunisie, Tripolitaine, Maroc.. Description ; 436 pages, 800 ko. Auteur : E. ROUARD DE CARD, Professeur de Droit civil à l’Université de Toulouse, Associé de l’Institut de Droit international. A. PÉDONE, Éditeur 1906.

Cet ouvrage aurait pu être placé dans la rubrique « Documents » plutôt que dans la rubrique « Histoire ». Parmi les 25 traités signés par la France avec l’Algérie entre 1619 et 1862, vous trouverez bien sûr le fameux traité de 1628 qui demanda tant d’efforts à Sanson Napollon, qui fut si critiqué et qui coûta peut-être la vie (par trahison) de celui-ci à Tabarka. Classez cet ouvrage soigneusement dans votre bibliothèque numérique.


Titre : LE LIVRE D’OR DE L’ALGÉRIE. Description : 694 pages, 1319 Ko. Éditeur : Challamel et Cie. Paris 1889.

Auteur : Narcisse FAUCON. Ancien rédacteur en chef de l’Écho d’Oran et de l’indépendant de Constantine. Rédacteur en chef du Journal général de l’Algérie et de la Tunisie.

Voici un énorme ouvrage tout à fait original. L’auteur y a classé par ordre alphabétique, les noms des 367 grands personnages qui ont vécu en Algérie entre 1830 et 1889. Il ne se borne pas à donner la biographie de ces hommes ayant marqué dans l’armée les sciences, les lettres, etc., il en profite aussi, pour aborder les événements et faits principaux de l’histoire politique, militaire, administrative, dans lesquels ces acteurs se sont illustrés. Il y a bien sûr des manques ; le colonel Trumelet, qui a rédigé la préface, précise : « Sans doute, les petits et intrépides colons de la première heure, les héros de la quinine, y ont été un peu sacrifiés ; mais il n’y a là rien de votre faute : les documents vous ont nécessairement manqué, et puis, généralement, les petits, qui n’ont pas plus d’histoire que les filles honnêtes, passent à travers les trous du crible, et les gros seuls restent dessus. ». En résumé, voici un livre indispensable à votre bibliothèque consacrée à l’Algérie.


Titre : L’ALGÉRIE FRANÇAISE. Tome1, Paris 1856. Description : 458 pages, 1029 ko.

L’auteur : ARSÈNE BERTEUIL, « ancien pharmacien en chef des hôpitaux militaires de l’armée d’Afrique, a habité longtemps l’Algérie, a été associé aux mouvements de nos armées, et a pu étudier et vérifier par lui-même les merveilles de ce sol célèbre. Aussi a-t-il divisé son ouvrage en plusieurs parties : dans l’une, il relate les phases diverses de la conquête qu’il a pu suivre d’un œil attentif et investigateur ; dans l’autre, il retrace les péripéties des dominations qui ont pesé tour à tour sur la vieille Afrique, depuis Carthage jusqu’à l’invasion arabe. M. A. Berteuil arrive enfin à l’empire et au despotisme turc, que la France a détruit en faisant la belle conquête de ce pays et en détruisant la piraterie à tout jamais.

Ici encore il étudie en érudit spécial, en amateur curieux de la nature, la fécondité merveilleuse de l’Algérie et les trésors de la botanique multiple ; plus loin, ce sont les mœurs si variées, si bizarres, et au fond si logiques, si appropriées au climat de toutes ces peuplades ardentes, qui campent sous la tente nomade et ne savent pas encore se fixer au sol.

M. A. Berteuil a fourni lui-même les données des admirables dessins de M. Georges Fath. Ce dernier, un de nos artistes les plus distingués, a rendu avec une précision et une finesse de crayon des plus rares ces vues chaudes, ces costumes bibliques, ces végétations luxuriantes, qui font de ce pays une fête perpétuelle pour les yeux.

L’ouvrage est divisé en trois parties, formant deux volumes ; le premier volume ira de 1830 à 1834 ; le second volume relatera de 1835 à 1843 inclus. (Dentu) » « Dans cet ouvrage, je raconterai les principaux combats ou événements qui ont eu lieu dans les diverses parties de la Régence, sous les généraux qui ont été élevés alternativement au commandement d’Alger pendant quatorze années consécutives de notre occupation. Je ferai aussi connaître quelques sources d’eaux minérales qui ont été découvertes, et j’enrichirai cet ouvrage de quelques faits et anecdotes curieuses ayant rapport à notre occupation par des notes intéressantes qui seront renvoyées à la fin de chaque volume. Enfin, je consacrerai quelques pages à la botanique, principalement sur les végétaux qui auront une plus grande importance et qui seront d’une utilité incontestable pour l’avenir du pays. Dans un livre où domine l’histoire d’événements contemporains, j’ai cru devoir me mettre en garde contre l’esprit de parti et ne rien sacrifier à des préventions de personnes ou d’opinions. L’impartialité a été mon principal guide, et si parfois j’ai déversé le blâme sur les actes du gouvernement ou sur ceux de ses agents, j’ai toujours obéi à des convictions puisées dans l’étude approfondie des hommes, des circonstances et des faits, bien convaincu qu’un historien doit être véridique, sans haine ni passion. (Berteuil). »


Titre : L’ALGÉRIE FRANÇAISE. Tome2, Paris 1856. Description : 447 pages, 952 ko.

L’auteur : ARSÈNE BERTEUIL, « ancien pharmacien en chef des hôpitaux militaires de l’armée d’Afrique, a habité longtemps l’Algérie, a été associé aux mouvements de nos armées, et a pu étudier et vérifier par lui-même les merveilles de ce sol célèbre. Aussi a-t-il divisé son ouvrage en plusieurs parties : dans l’une, il relate les phases diverses de la conquête qu’il a pu suivre d’un œil attentif et investigateur ; dans l’autre, il retrace les péripéties des dominations qui ont pesé tour à tour sur la vieille Afrique, depuis Carthage jusqu’à l’invasion arabe. M. A. Berteuil arrive enfin à l’empire et au despotisme turc, que la France a détruit en faisant la belle conquête de ce pays et en détruisant la piraterie à tout jamais. Ici encore il étudie en érudit spécial, en amateur curieux de la nature, la fécondité merveilleuse de l’Algérie et les trésors de la botanique multiple ; plus loin, ce sont les mœurs si variées, si bizarres, et au fond si logiques, si appropriées au climat de toutes ces peuplades ardentes, qui campent sous la tente nomade et ne savent pas encore se fixer au sol. M. A. Berteuil a fourni lui-même les données des admirables dessins de M. Georges Fath. Ce dernier, un de nos artistes les plus distingués, a rendu avec une précision et une finesse de crayon des plus rares ces vues chaudes, ces costumes bibliques, ces végétations luxuriantes, qui font de ce pays une fête perpétuelle pour les yeux. L’ouvrage est divisé en trois parties, formant deux volumes ; le premier volume ira de 1830 à 1834 ; le second volume relatera de 1835 à 1843 inclus. (Dentu) » « Dans cet ouvrage, je raconterai les principaux combats ou événements qui ont eu lieu dans les diverses parties de la Régence, sous les généraux qui ont été élevés alternativement au commandement d’Alger pendant quatorze années consécutives de notre occupation. Je ferai aussi connaître quelques sources d’eaux minérales qui ont été découvertes, et j’enrichirai cet ouvrage de quelques faits et anecdotes curieuses ayant rapport à notre occupation par des notes intéressantes qui seront renvoyées à la fin de chaque volume. Enfin, je consacrerai quelques pages à la botanique, principalement sur les végétaux qui auront une plus grande importance et qui seront d’une utilité incontestable pour l’avenir du pays. Dans un livre où domine l’histoire d’événements contemporains, j’ai cru devoir me mettre en garde contre l’esprit de parti et ne rien sacrifier à des préventions de personnes ou d’opinions. L’impartialité a été mon principal guide, et si parfois j’ai déversé le blâme sur les actes du gouvernement ou sur ceux de ses agents, j’ai toujours obéi à des convictions puisées dans l’étude approfondie des hommes, des circonstances et des faits, bien convaincu qu’un historien doit être véridique, sans haine ni passion. (Berteuil). »


Titre : HISTOIRE DE LA CALLE. – 1877. Description : 639 pages, 963 ko.

L’Auteur : Charles Féraud (1829-1888), débuta sa carrière d’interprète en Algérie à 19 ans, et celle-ci fut émaillée de récompenses et distinctions : officier de la légion d’honneur en 1873, président de la Société historique algérienne en 1876, Consul général de France à Tripoli en 1877, Commandeur de la légion d’honneur en 1882, ministre plénipotentiaire au Maroc en 1884.

Cet « officier découvreur », fait de la reconstitution historique, des enquêtes qui rendent compte d’un esprit d’observation et d’une grande volonté de connaissance du milieu indigène. Les trois ouvrages les plus célèbres de Charles Féraud sont : l’histoire de Bougie, les Annales tripolitaines et l’Histoire de La Calle qui vous est ici proposé. Comment ne pas posséder ce livre, qui détaille la vie d’une « possession française » pendant 300 ans ! Néanmoins il faut « corriger » les affirmations de Féraud par la lecture du livre de Masson plus récent d’une trentaine d’années.


Titre : HISTOIRE DES ÉTABLISSEMENTS ET DU COMMERCE FRANÇAIS DANS L’AFRIQUE BARBARESQUE (1560-1793). Description : 679 pages, 2050 ko.

Auteur : Paul MASSON. Professeur d’Histoire et de Géographie économique à l’université d’Aix-Marseille. Un ouvrage incontournable pour ceux qui s’intéressent à l’histoire du Maghreb... où la France était présente avant la conquête de 1830 bien sûr ! Il s’agit d’une vraie étude historique moderne des établissements français. Vous pourrez noter l’abondance des notes en bas de pages. « L’histoire des anciennes Concessions d’Afrique est l’un des chapitres les plus curieux de l’histoire des compagnies commerciales de l’ancien régime. Les compagnies nombreuses qui se succédèrent jusqu’à la Révolution, pour exploiter les Concessions, furent, en effet, dans une situation spéciale, unique même, dans les annales des anciennes compagnies. Elles avaient un monopole, et cependant elles eurent toujours à lutter contre la concurrence des négociants particuliers, parce que leur monopole n’existait que pour les Concessions, dont le territoire était peu étendu ; les capitales barbaresques, Alger et Tunis, restèrent toujours en dehors. Il y eut donc, pendant plus de deux siècles, sur cette côte d’Afrique, une rivalité acharnée et intéressante entre les compagnies et le commerce privé. Aussi est-ce bien à tort que, dans les études faites jusqu’ici, on a eu une tendance à confondre l’histoire des compagnies d’Afrique avec celle des échelles de Barbarie ; loin de se confondre avec celle des compagnies, l’activité des négociants français, établis à Tunis ou à Alger, la contraria continuellement. »


Titre : HISTOIRE DE LA BERBÉRIE Tome I (de 1100 avant J.-C. à 1045 après J.-C.) Description : 452 pages, 3100 ko. (Les cartes incluses alourdissent le fichier).

Auteur : Ernest MERCIER (1820 - 1907), interprète militaire (1865), puis judiciaire, d’abord à Ténès, où, pendant l’insurrection de 1871, il commanda la milice. Établi à Constantine dont il fut deux fois maire (élu du parti antisémite ! en 1883 et 1896) et conseiller général (1898), il s’adonna à l’étude de la langue et de l’histoire du pays. Son œuvre maîtresse, celle qui est proposée ici, le seul ouvrage d’ensemble sur le sujet, a été maintes fois utilisée, sans que ceux qui en on profité l’aient toujours citée.

Ce premier tome est partagé en deux parties : PREMIÈRE PARTIE : Période antique de 1100 avant J.-C. jusqu’à 642 de l’ère chrétienne, elle décrit entre autre les occupations Carthaginoise, Romaine, et Vandale. DEUXIÈME PARTIE : Période Arabe et Berbère, de 641 à 1045, c’est-à-dire avant l’invasion Arabe Hilalienne.


Titre : ORIGINE ET MIGRATIONS DES PRINCIPALES TRIBUS DE L’ALGÉRIE. Description : 495 pages, 1800 ko.

Auteur : Carette (Antoine-Ernest-Hippolyte), officier et publiciste, né le 23 mai 1808, entra à l’École polytechnique en 1828, fit les campagnes d’Algérie. Il entreprit de nombreuses recherches historiques sur l’Afrique ancienne, et fit partie de la commission scientifique qui explora l’Algérie pendant les années 1840, 1841 et 1842. Il est l’auteur des Études sur la Kabylie proprement dite (1848-49, 2 vol. gr. in-8°). On lui doit encore la Description et division de l’Algérie, en collaboration avec M. Warnier (1847, in-8°) ; la Notice explicative qui accompagne l’Atlas de l’Algérie de L. Bouffard, dressé en partie d’après ses travaux ; et dans la collection de l’Univers pittoresque : Alger, Tunis, Tripoli et le Fezzan (1853, in-8°), en collaboration avec MM. Rozet et Marcel. Il a fourni de nombreux articles au journal l’Algérie.

Le lecteur trouvera ici, sans aucun doute, de quoi compléter ses informations sur les tribus de Afrique du Nord et principalement de l’Algérie.


Titre : LA GRANDE KABYLIE ─ ÉTUDES HISTORIQUES . PARIS 1847. . Description : 595 pages, 726 ko.

L’auteur : DAUMAS (Melchior-Joseph-Eugène), général de division, sénateur et écrivain, né le 4 septembre 1803, entra dans l’armée comme engagé volontaire en 1822. Nommé sous-lieutenant en 1827, il fut envoyé à l’école de Saumur. En 1835, il vint en Algérie, sous les ordres du maréchal Clauzel. Il s’appliqua avec ardeur à l’étudie de l’arabe et se distingua bientôt par une connaissance spéciale des mœurs algériennes. De 1837 à 1839, il résida en qualité de consul à Mascara, auprès de l’émir Abd-el-Kader. Le général de Lamoricière lui confia ensuite la direction des affaires arabes dans la province d’Oran qu’il commandait.

Peu après, le maréchal Bugeaud le chargea des affaires indigènes de toute l’Algérie. On lui dut, en grande partie, la réorganisation des bureaux arabes. Après la prise d’Abd-el-Kader (22 décembre 1847), il fut envoyé au fort Lamalgue, auprès de l’Émir. Il fut nommé en avril 1850 directeur des affaires de l’Algérie au ministère de la guerre, puis général de division le 14 janvier 1853. Il est mort à Coublence (Gironde) en mai 1871. Parmi les écrits de M. Daumas, dont les principaux, traduits en espagnol et en allemand, ont eu en France plusieurs éditions, nous citerons : les Kabyles de l’est (Alger, 1844) ; Exposé de l’état actuel de la société arabe, du gouvernement et de la législation qui la régit (Alger, 1845, in-8°) ; le Sahara algérien (Paris, 1845) ; le Grand Désert, ou Itinéraire d’une caravane du Sahara au pays des nègres (2e édition, 1849 ; nouvelle édition, 1861, in-8°), en collaboration avec M. A. de Chancel ; la Grande-Kabylie (1847, in-8°), avec M. Fabar, mort en 1849 au siège de Rome ; Sur l’éducation du faucon en Algérie (Paris, 1856, in-8a) ; Coup d’œil sur l’Algérie au mois de juin 1856 (Paris, 1856, in-12) ; la Civilité puérile et honnête chez les Arabes (Paris, 1857) ; Mœurs et coutumes de l’Algérie (1857, 3° édition, in-8°) ; les Chevaux du Sahara, et principes généraux du cavalier arabe (1858. 5° édition) ; la Kabylie (1857. in-32) ; la Société kabyle (Paris, 1858) ; la Vie arabe et la Société musulmane (1869, in-8°).

Voici comment l’auteur présente cet ouvrage : « Le contact assidu des indigènes, une participation constante à leur affaires politiques, l’étude attrayante de leurs mœurs et la possession d’un grand nombre de documents du plus haut intérêt pittoresque, nous ont permis d’entrer en quelque sorte dans le camp de nos adversaires, de contempler leur vie réelle, et d’en offrir quelques tableaux où l’inexpérience de notre touche pourrait seule faire méconnaître la richesse de la palette. Nous sommes assez heureux pour soulever le voile épais qui couvre une grande contrée de l’Algérie... Nous nous sommes efforcés de planer au-dessus des tristes débats dont l’Algérie est continuellement l’objet ou le prétexte. Nous avons négligé volontairement de remuer les questions à l’ordre du jour, qui ne sont guères, en général, que des questions d’un jour. D’ailleurs, si, aucun des doutes, aucun des différends qui se sont produits sur son compte n’embarrassera nos lecteurs ; si nous les amenons à bien voir, nous les aurons mis en état de juger sainement. »


Titre : HISTOIRE DE L’INSURRECTION DE 1871 EN ALGÉRIE.Description : 680 à pages, 2,4 Mo.

Auteur : Louis RINN. Conseiller de gouvernement, vice-président de la société historique d’Alger, ancien chef du service central des affaires indigènes. Il s’agit de l’ouvrage le plus important, le plus détaillé et le plus impartial décrivant minutieusement la grande insurrection de 1871 en Algérie.

Les Berbères appellent aujourd’hui cette année 1871 : l’année de Moqrani, et l’histoire, un jour, racontant les événements de cette époque, dira : l’insurrection de Moqrani. Ce fut, en effet, le bachagha El-hadj-Mohammed-ben-el-hadj-Ahmed-el-Moqrani qui seul déchaîna cette lutte formidable. Ce fut lui qui entraîna les populations soumises à l’influence plusieurs fois séculaire de sa famille, et aussi celles, plus nombreuses encore, subissant alors l’action politique et religieuse des khouans Rahmanya dont il avait sollicité l’alliance et obtenu le concours en flattant les visées ambitieuses d’Aziz-ben-chikh-el-Haddad, le fils du grand maître de l’ordre.

L’auteur a essayé, sans parti pris, sans idée préconçue, de dire simplement ce qu’il a vu, entendu et étudié. Ce n’est ni une histoire de l’Algérie, ni une étude militaire qu’il a entrepris d’écrire ; c’est l’histoire d’une insurrection, et rien de plus. Par contre, l’auteur s’est efforcé d’être bref et concis dans le récit des opérations militaires, opérations qui se ressemblent toutes en Algérie et pour la réussite desquelles l’armée d’Afrique depuis longtemps n’a plus rien à apprendre. Mais cette concision n’a cependant pas été jusqu’à retrancher quoi que ce soit dans la longue énumération de plus de trois cent quarante glorieux faits d’armes qui n’ont pas toujours eu la notoriété qu’ils méritent. Un index bibliographique donne quelques brefs renseignements sur les rares publications qui peuvent utilement être consultées à propos de l’insurrection de 1871


Titre :HISTOIRE DES ROIS D’ALGER Description : 226 pages, 370 ko Auteur : Diego de HAËDO

Diego de Haëdo est un historien espagnol né dans la vallée de Carança et mort dans le première partie du XVIIe.il appartenait à une antique famille de Biscaye, qui avait la prétention de faire remonter son origine à l’invasion des Maures. Un de ses parents portant le même nom que lui, étant parvenu à l’archevêché de Palerme, l’attira en Sicile. Il devint chapelain puis abbé de Fromesta. Le palais archiépiscopal était le rendez-vous de nombreux captifs que la charité du prélat avait fait racheter en Afrique ; ce fut d’après leurs rapports que Diego de Haëdo composa ses ouvrages. Quelques fois il est lui-même ce témoin car Haëdo avait séjourné plusieurs années à Alger de 1578 à 1581. Pierre Dan affirme sa captivité à Alger dans son manuscrit « Les illustres captifs ». (Bibliothèque Mazarine, n° 1919).

L’Épitomé de los Reyes de Argel est la partie capitale du travail d’Haëdo, et sa connaissance est indispensable à tous ceux qui s’occupent de l’histoire d’Alger ; car c’est le seul livre qui fasse le récit des événements qui y sont survenus pendant le XVIe siècle. Sans lui, la nuit la plus noire régnerait sur toute cette période, obscurité à peine interrompue par de rares chroniques indigènes, et par le récit de quelques-uns des faits les plus saillants, qu’il faut aller chercher à grand-peine dans vingt ouvrages divers, espagnols ou italiens.

Cette chronique des grandes figures de l’État algérien du XVIe et du début du XVII e siècle est aussi un vaste panorama des événements qui s’y déroulèrent. Ce texte constitue une source indispensable par sa valeur documentaire.


Titre : TOPOGRAPHIE ET HISTOIRE GÉNÉRALE D’ALGER.. Description : 224 pages, 380 ko. Auteur : Diego de HAËDO.

Diego de Haëdo est un historien espagnol né dans la vallée de Carança et mort dans le première partie du XVIIe.il appartenait à une antique famille de Biscaye, qui avait la prétention de faire remonter son origine à l’invasion des Maures. Un de ses parents portant le même nom que lui, étant parvenu à l’archevêché de Palerme, l’attira en Sicile. Il devint chapelain puis abbé de Fromesta. Le palais archiépiscopal était le rendez-vous de nombreux captifs que la charité du prélat avait fait racheter en Afrique ; ce fut d’après leurs rapports que Diego de Haëdo composa ses ouvrages. Quelques fois il est lui-même ce témoin car Haëdo avait séjourné plusieurs années à Alger de 1578 à 1581. Pierre Dan affirme sa captivité à Alger dans son manuscrit « Les illustres captifs ». (Bibliothèque Mazarine, n° 1919).

« La Topographie et Histoire générale d’Alger constitue une source unique en son genre par sa richesse, sa densité, et par l’acuité du regard ethnographique de l’auteur : nulle autre chronique ou récit de captivité, pour cette période, ne produit un tableau aussi complet, vivant et animé de la société algérienne de la fin du XVI e siècle. » (Réédition par les Éditions BOUCHENE.)

Outre une description topographique fort exacte de l’ancien Alger et de curieux détails de mœurs sur ses habitants, ce livre renferme l’histoire des trente premiers pachas de la Régence.

« Cet historien possède, surtout, une qualité bien rare, qui frappe tout d’abord et qu’il importe beaucoup de mettre en lumière pour le sujet qui nous occupe : c’est une extrême impartialité. Si, - par exemple, - dans le chapitre 46 du livre consacré à la topographie d’Alger, il flétrit énergiquement les vices des habitants de cette ville, il loue bientôt après, et sans nulle restriction, leurs bonnes qualités, les proposant même aux chrétiens comme modèles à suivre sur certains points. Ainsi, les musulmans de cette époque, dit-il, ne blasphémaient jamais, ne jouaient pas aux jeux de hasard, ignoraient le duel, cette barbarie stupide qui déshonore encore notre civilisation ; ils se pardonnaient réciproquement les injures, etc. » (Berbrugger)


Titre : DE LA CAPTIVITÉ À ALGER. Description : 370 pages, 650 ko. Auteur : Diego de HAËDO.

Diego de Haëdo est un historien espagnol né dans la vallée de Carança et mort dans le première partie du XVIIe.il appartenait à une antique famille de Biscaye, qui avait la prétention de faire remonter son origine à l’invasion des Maures. Un de ses parents portant le même nom que lui, étant parvenu à l’archevêché de Palerme, l’attira en Sicile. Il devint chapelain puis abbé de Fromesta. Le palais archiépiscopal était le rendez-vous de nombreux captifs que la charité du prélat avait fait racheter en Afrique ; ce fut d’après leurs rapports que Diego de Haëdo composa ses ouvrages. Quelques fois il est lui-même ce témoin car Haëdo avait séjourné plusieurs années à Alger de 1578 à 1581.Pierre Dan affirme sa captivité à Alger dans son manuscrit « Les illustres captifs ». (Bibliothèque Mazarine, n° 1919).

L’ouvrage est composé de deux traités : Le premier des deux traités est un dialogue entre est une longue dissertation sur l’esclavage entre Antonio Gonzalez de Torrès, chevalier de Saint-Jean, et le docteur Sosa, son ami, auquel il était venu rendre visite dans les prisons où il était captif, et incarcérés ; tous deux, s’entretiennent de la situation misérable résultant de la captivité et son origine ; l’auteur n’hésite pas, comme c’était d’ailleurs la Coutume à l’époque, de remonter aux temps les plus reculés, aux fils de Caïn, à Nemrod, aux grands conquérants, puis il arrive lentement, progressivement aux temps modernes, non sans retourner souvent sur ses pas et remonter dans l’antiquité. Haëdo s’arrête avec complaisance sur les temps anciens ; il se plaît à y revenir ; il cite des exemples avec une intarissable complaisance, multiplie les citations des livres saints, des Pères de l’Église, des auteurs profanes, de certains contemporains et aborde enfi n son sujet. Mais il ne parle que des faits qu’il a vus et de ceux qui lui sont racontés par des témoins dignes de foi, souvent des victimes de la barbarie de leurs geôliers. Le second traité est un autre dialogue : Au cours d’une visite rendue par le capitaine Jérôme Ramirez au docteur Sosa, son ami, dans la prison où ce dernier est renfermé, un livre qu’il voit entre les mains du prisonnier leur fournit l’occasion de s’entretenir de l’utilité de la lecture des bons livres en général et, particulièrement pour les captifs, de la lecture des vies des saints et des martyrs de la Foi, et il est parlé des divers tourments infligés anciennement aux chrétiens avant qu’ils fussent mis à mort, ainsi que de quelques martyres et morts affreuses que les Turcs ont fait subir aux chrétiens à Alger.


TITRE : L’ARMÉE ROMAINE D’AFRIQUE. – 1913 Description : 837 pages, 10 Mo.

AUTEUR : René-Louis-Victor CAGNAT, né le 10 octobre 1852 et mort en 1937, est un historien français, spécialiste d’épigraphie latine et de l’histoire de l’Afrique romaine. À la mort de son père, c’est Léon Renier, un ami de famille, qui prend en charge son éducation. Sous l’influence d’Ernest Desjardins, il commence à s’intéresser à l’épigraphie. Il mène une campagne archéologique en Tunisie et devient professeur d’épigraphie en 1883. C’est en 1885 qu’il publie son fameux Cours d’épigraphie latine. En 1887, il succède à Desjardins à la chaire d’épigraphie et antiquités romaines au Collège de France. En 1888, il fonde L’Année épigraphique. En 1895, il est élu membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, dont il est secrétaire perpétuel de 1916 à sa mort.

Publications : Cours d’épigraphie latine, Paris, 1885 L’armée romaine d’Afrique et l’occupation militaire de l’Afrique sous les empereurs, Paris, 1892 Carthage, Timgad, Tebessa et les villes antiques de l’Afrique du Nord, Paris, 1909 Manuel d’archéologie romaine, avec Victor Chapot, Paris, 1916-1920 Inscriptions latines d’Afrique, Paris, 1923

Il s’agit d’une œuvre monumentale, plusieurs fois rééditée dont la dernière fois en 1975 ; pour trouver une réactualisation des connaissances sur le sujet, il faut se tourner vers les ouvrages de Yann le Bohec et notamment sa thèse de doctorat (1982) : « Recherche sur l’armée romaine d’Afrique », rééditée en 1989… mais introuvable, et loin d’être dans le domaine public !


Allez au site référencé Voir http://www.algerie-ancienne.com/ind...


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